Noël en 1917 derrière les lignes de front
…Nous sommes en 17, en hiver, presqu’à Noël.
Et Noël, c’est toujours une occasion d’être heureux. Être heureuses, ces femmes, ces
infirmières, ces bénévoles, installées juste derrière les lignes de front, essaient de l’être
de toutes leurs forces, de toute leur foi.
Rien de plus vivant qu’un hôpital, parce que c’est là qu’on y défend chaque existence,…
c’est là qu’on y cultive l’espoir, c’est là, plus que partout ailleurs, que l’amour se
mesure et s’éprouve.
Alors, elles vivent, ces femmes, elles agissent, elles luttent, elles s’amusent avec détermination de tout, d’elles-mêmes, de leurs drames, de leurs petits travers, de leurs
folles espérances avec la certitude que demain sera beau et que, passés les orages,
tout repartira …comme en 14!… mais sans la Guerre.
Et Noël, c’est toujours une occasion d’être heureux. Être heureuses, ces femmes, ces
infirmières, ces bénévoles, installées juste derrière les lignes de front, essaient de l’être
de toutes leurs forces, de toute leur foi.
Rien de plus vivant qu’un hôpital, parce que c’est là qu’on y défend chaque existence,…
c’est là qu’on y cultive l’espoir, c’est là, plus que partout ailleurs, que l’amour se
mesure et s’éprouve.
Alors, elles vivent, ces femmes, elles agissent, elles luttent, elles s’amusent avec détermination de tout, d’elles-mêmes, de leurs drames, de leurs petits travers, de leurs
folles espérances avec la certitude que demain sera beau et que, passés les orages,
tout repartira …comme en 14!… mais sans la Guerre.